mardi 30 juillet 2013

Quo-ti-dien.

Combattez tous les jours vos préjugés. On en a plein, c'est naturel. Il faut faire un travail quotidien. Et se renseigner partout, ne mépriser personne. Le PAF, la presse, internet, prennent soin du préjugé. A vous de chopper des perspectives diverses et variés qui vont vous donner du recul et la capacité-bijou à ne pas tomber dans les pièges des partisans qui veulent clouer des préjugés dans vos crânes. Perso, je fréquente le blog de Guy Millière et pourtant je fréquente aussi Egalité et Réconciliation. Cherchez à dialectiser avec les contraires, à être éclectiques en gardant une vue globale sur les concitoyens rhéteurs qui se complètent.

Vive E&R et vive Guy Millière (putain ça me coûte de dire ça).

Réaction à chaud sur le moyen-âge contemporain et ses chiens de garde cultivés

Ici tout le monde est libre de poster sans confirmation lourdingue du modo et je modère a posteriori. En fait je doute qu'on tombe sur mon blog : mon but c'est de contourner la confirmation de commentaire de Mézigue et surtout d'esquiver l'interface dégueulasse, complètement pauvre et sans ergonomie qui est réservée aux auteurs de commentaires.


Mézigue,


Chez vous, le procès d'intention à l'égard de Soral semble exister depuis le point de vue du lecteur qui ne connaît pas votre définition de l'antisémitisme. Vu la méthode qui transparaît dans vos réponses, vous semblez être un habitué du travail conceptuel et de la rigueur logique, on est en droit de suspecter autre chose que du procès d'intention. Ainsi, le problème ne serait pas tant un procès d'intention qu'une définition invraisemblablement large de l'antisémitisme, celle de Taguieff, qui n'a rien à voir avec le dico et wikipédia. Il faut retenir de cela l'importance de définir ses termes, enfin bon, vous le savez déjà - mais vous n'avez pas pris cette initiative avant que Quentin ne vous réveille. Je dois m'en souvenir, ça m'évitera bien des dialogues de sourd.

Mézigue : « Pour ce qui est de ce que recouvre la notion d’antisémitisme, la réponse est facile. C’est l’attitude d’esprit, commune à tous racistes, qui consiste à caractériser à priori un individu à partir de ce qu’on croit avoir perçu de son origine biologique, sociale et/ou historique et de ses propres préjugés sur les «qualités» liées à ces origines (Cf Taguieff) »

Une définition usuelle est d'identifier le terme à un racisme anti religion juive et anti juifs comme peuple. Celle de Mézigue me paraît large, très large, trop large. Je vais tenter deux interprétations :

1ère interprétation, définition déjà embêtante : l'antisémitisme est ici une tendance du « raciste » à caractériser à priori un individu à partir de prédicats associés à son identité. Sont donc concernées les considérations du juifs-parasite adepte de l'usure mais aussi le rom voleur de poules, l'arabe fainéant et voleur d'auto-radio, le chinois discret pour mieux espionner et détrousser le génie l'occidental, etc !

2e interprétation, là on touche le fond de la sérénité humaine, bonjour l'hystérie sémantique : l'antisémitisme est ici une tendance, cette fois-ci symptôme de la présence d'un racisme, à caractériser à priori un individu à partir de prédicats associés à son identité. Sont donc concernées les considérations du juifs-parasite adepte de l'usure mais aussi le rom voleur de poules, mes blagues gentils qui soulignent que mon pote du sud s'excite pour rien parce qu'il est méditerranéen, ma supposition que mon correspondant chinois aura les yeux bridés, mon hypothèse que Mézigue puisse avoir une pensée influencée par une judéité que j'estime probable, etc.
Vous voyez l'aberration sémantique ? Ça ne mérite pas réflexion, ça ? Ou alors cette hystérie sémantique vous convient, à vous lecteurs du blog de Mézigue ? J'en ai marre qu'on laisse cette lucidité sémantique à la droite profonde ou extrême parce que ses intellectuels apportent des outils critiques absents ailleurs puisqu'objets d'un tri sélectif bienpensant... c'est gonflant. Encore un point pour E&R – qui n'est pas exempt de défaut, mais merci Soral pour ce que tu fais de salutaire.

Mézigue ose nous dire que la réponse est facile, pourtant, sait-il que les concitoyens qu'il emprisonne sauvagement dans la catégorie des antisémites n'ont pas du tout sa définition du mot ? La réponse est loin d'être facile, au contraire, vu qu'on parle là d'un terme qui a pris cette sale habitude d'être ambigu entre un outil conceptuel (outil descriptif) et une injonction chargée de mémoire et d'émotion (outil normatif). Le terme passe allègrement de l'un à l'autre de ces deux rôles. Ceci est sans doute une clé de compréhension du moyen-âge contemporain où l'usage du bûcher est monnaie courante. En effet, une définition ultra-large à la Taguieff peut être problématique car plus une définition est large dans le plan descriptif et universitaire, plus une réaction morale violemment destructrice de dialogue ou inconsciemment inhibitrice du processus cognifitif de raisonnement est susceptible d'éclater plus tard, pour la simple et bonne raison qu'on augmente les chances de percevoir de l'antisémitisme ici ou là.
Or chez Mézigue, l'antisémitisme ou non de Soral est un enjeu, tout aussi bien celui de savoir si c'est un imposteur : desfois il conclue sur la bouffonerie, desfois il conclue sur l'antisémitisme. Et dans ces fois où il conclue sur l'antisémitisme, il ne peut pas s'empêcher d'associer le prédicat que c'est typique de l'ignoble extrême droite réactionnaire nostalgique de 1930, alors même qu'il est parti à la base d'une définition très, très, très large... un glissement sémantique de la plus perverse des espèces parce qu'on paraît bon et justicier en la commettant (et que c'est très télégénique) : on part d'un sens très large, puis on glisse subrepticement jusqu'à l'enfer de 1930 par association de prédicats. Après ça, on comprend mieux que Michel Bergé parle « d'humus antisémite » à propos de manifestants défendant un lien juridique entre le mariage et la filiation naturelle (faîtes le rapprochement svp, moi j'ai du mal) : http://www.youtube.com/watch?v=srWSrQyogxo&feature=youtu.be . On a affaire à une folie sémantique que Mézigue soutient par la grâce d'une finesse professorale qui tient en fait sur un fondement grossier. Je tiens à dire que tout le paysage audio-visuel français ainsi que la presse commet ce genre de délits sémantiques qu'un enfant de 6 ans saurait déceler avant qu'il ne soit lobotomisé comme les autres.

Cette définition est pour moi, en un sens, un ennemi de l'intelligence car elle se présente assez massivement comme une aberration pour tout courant de pensée qui voudrait inscrire dans ses postulats une certaine lucidité sur l'influence des amours obtenus par l'éducation parentale. Je veux être lucide sur Haziza et très vite je m'auto-censure car je sais que des censeurs usant et abusant de pouvoir judiciaire ont une définition large et très fainéante de la notion d'antisémitisme. Si je ne me censure pas moi-même, la France licratisée le fait pour moi. ( http://www.bing.com/search?q=la+france+licratis%C3%A9e&go=&qs=n&form=QBRE&pq=la+france+licratis%C3%A9&sc=8-10&sp=-1&sk= )


Tout le monde sait que dans une estimation, pour ne pas être déçu, et dans un projet (concret ou intellectuel), pour le réussir, il faut être précautionneux. Prendre une précaution maximisant les chances de succès, cela signifie, au moins, jeter un œil aux hypothèses les plus pessimistes qui se présentent. En prenant une précaution, j'évite le pire, j'évite le problème, l'obstruction, l'échec du projet personnel/collectif.

Prenons un exemple de précaution théorique : la précaution Hirsch. Je n'avais même pas encore le bac quand on a annoncé le remplacement du RMI par le RSA dans un JT. Mon père approuvait : il m'avait expliqué que ce changement structurel avait été pensé et mis en place parce que des citoyens profitaient du système, qu'ils avaient cette tendance à profiter des aides, tendance naturelle que seule une force morale qui ne tombe pas du ciel pouvait contrer – si ce n'est une contrainte objective, autrement dit un changement structurel. Quant à ma mère, elle éprouvait un fort sentiment de gauche et voyait l'événement comme un « coup de la droite ». Notre Martin Hirsch national avait été précautionneux intellectuellement : ne s'étant pas laissé cognitivement neutraliser (auto-censure) par une certaine gauche malhonnête (pour ne pas dire toute la gauche politique française) qui utilisait sans gêne l'incrimination facile et le mot-injonction : « fasciste », « réactionnaire », « raciste », pour tenter de disqualifier ce concitoyen – dans sa stratégie électorale, à la gauche supposait explicitement que la population immigrée était visée par Hirsch. Merci à Hirsch pour n'avoir pas succombé à la pression du politiquement correct anti-intelligence, à la pensée unique qui s'opposait à une hypothèse à la fois pessimiste, réaliste et lucide ; car la précaution théorique est une condition sine qua non à une politique qui marche (comme pour tout projet). Ce pauvre Hirsch avait eu le malheur, en son temps, de raisonner froidement (et il en a pris plein la gueule rappelez-vous!) ; plus tard, on lui a apporté les honneurs avec un recul que ces fainéants de concitoyens moralisateurs de gauche n'avaient pas daigné avoir. En matière d'essence humaine, l'hypothèse pessimiste brille par son réalisme : des gens profiteraient des aides et des membres de l'élite feraient mal leur travail car motivés à défendre des intérêts autres que ceux des Français. On remercie donc Hirsch et Soral malgré leur imperfection.

Comme le dénonce Dieudonné M'Bala M'Bala (figure française qui aura une place d'importance dans la contre-Histoire, et dont nier le talent au nom d'une morale mal placée est inepte) dans une œuvre artistique éminemment engagée, des mots, très chargés émotionnellement, utilisés inlassablement comme des injonctions, ont une gigantesque force et jettent l'anathème avec un succès constant et spectaculaire que ces gauchistes anti-Hirsch n'avaient pas réussi à avoir. Des mots-mantras autour d'un phénomène religieux construit dans un pays laïque, j'ai nommé : le problème de la sacralisation de la Shoah. Tendance perverse qui entraîne un phénomène de victimes à deux vitesses (les victimes juives et les autres), ce qui peut s'interpréter du comportement des présentateurs télés même si eux-même ne l'assument évidemment jamais. La « Shoah » a ce pouvoir invraisemblable de supprimer à l'humour noir ses vertus universelles et son ambivalence car quand il est question du mantra « Shoah », eh bien presque tout le monde oublient à quel point dans un contexte serein ils apprécient l'humour noir quand c'est leur cas – oubli étranger à ceux qui n'ont pas méprisé l'apport éthique et intellectuel d'un Dieudonné, un concitoyen à l'angle différent qui les a sensibilisés à ce phénomène religieux très sous-jacent. C'est du tout-répressif d'ordre intellectuel, le tout-répressif de la bienpensance liberticide et amie intime du préjugé. Quelque chose me chagrine : cette tournure kafkayenne qu'a pris l'imaginaire collectif et la sémantique collective est une perversité volontairement ou non soutenue par des initiés à la rigueur conceptuelle comme Mézigue, Taguieff et tellement d'autres alors que j'attends de ces personnes de l'ammoralité, du raisonnement froid et de la précision sémantique, seul contexte où la réflexion ne part pas en couille. Vous seriez d'un certain point de vue les idiots utiles d'idéologues machiavéliens qui usent et abusent de leur pouvoir sur la doxa, mais comme vous êtes aveuglé par la confusion tenace qui consiste à dénoncer un complotisme (jugement définitif diabolisateur, mot injonctif) chez quelqu'un qui a l'outrecuidance d'avoir des hypothèses aussi pessimistes que le machiavélisme d'Etat (11 septembre, false flag de Boston, etc), eh bien vous continuerez à vous enfoncer vous-même, vous les demi-habiles très cultivés, vous continuerez à potentiellement servir le machiavélisme des puissants (moins sages que vous, plus identitaires que vous, ayant moins d'outils éthiques d'ordre méthodologiques et verbaux à disposition pour continuer à faire le boulot sans sombrer dans le vice, etc).

Merci au très imparfait et très ambivalent Soral de nous rappeler que les personnes juives sont des êtres humains comme les autres capables de communautarisme et de tribalisme inspiré de l'éthique de leurs ancêtres (tous les ancêtres étaient sanglants, donc les juifs sont compris dans le pactole), de nous sensibiliser à la possibilité de certains phénomènes de deux poids deux mesures (absolument factuel), de tribalisme manifeste, de délits de double éthique (vous vous en foutez, moi je le vois), etc, tout en me laissant le loisir de détecter ses abus partisans et nostalgiques d'un catholicisme d'Etat fantasmé. Comment aurais-je fait sinon, puisque vous les anti-impérialistes, défendus et soutenus par Egalité & Réconciliation, porteurs de l'antithèse nécessaire à ma dialectique personnelle, vous êtes marginalisés par le système d'information, brutalement et injustement enfermés dans la catégorie des diaboliques nazis de l'extrême droite ? Ce caractère définitif dans la catégorisation de Soral est aussi abject, malhonnête et anti-intelligent que la judéophobie ou l'islamophobie, qui sont aussi des catégorisations, des essentialisations, des amalgames qui réduisent une religion à des traits culturels et à une idéologie. Ce n'est pas parce que Soral est judéophobe qu'il faut lui rendre la pareille en étant soralophobe. La soralophobie empêche de réfléchir : l'Eglise, l'Islam, le Judaïsme, Elie Wiesel et Alain Soral sont ambivalents (= ils ont du positif et du négatif). L'ambivalence est un concept qui résonne sûrement en crypté sur le blog jovial de Mézigue et auto-satisfait de Mézigue, qui n'assume pas ce qui ressemble à animosité pour le bouffon, et qui est en un sens très indolent - oui, interdire l'ambivalence à l'objet de sa critique, c'est une paresse de la pensée, et l'ironie n'excuse pas tout monsieur. L'utilisation fréquente du concept d'extrême droite, chargé très négativement par vous-même Mézigue et là encore venant désigner tout ceux dont la gueule ne vous revient pas, donne à votre blog une odeur nauséabonde de sectarisme vainement masqué dans l'intellectualisme ironique, et cela ne vous fait pas justice j'en suis sûr.
L'agréable détente des neurones façon Mézigue (l'emphase en gras vient de lui) :
« – le second but semblant pour lui être la conséquence  du premier  (???) - de rendre de plus en plus acceptables les idées d’extrême-droite,  je lui suggère un futur plateau. »
« Pour augmenter encore plus l'audimat, je lui suggère de dresser un ring afin que les téléspectateurs d'extrême-droite puissent se passionner pour le champion qu’ils se choisiront lorsque ces six "grands espritsd'extrême-droite en viendront aux mains »
Si des lectrices ou des lecteurs ont des idées pour améliorer ce plateau qu'ils me disent via ma boîte-mail. Ce en précisant s'ils situent les candidats proposés "à gauche" ou "à droite" ... dans la famille d'extrême-droite » 
« Par contre avoir invité quelqu’un de notoirement antisémite comme Soral » 
« Monsieur Taddeï, je ne suis pas un téléspectateur ni un journaliste, ni un politique mais je vous l'écris comme je le pense, en dehors du fait que vous n'êtes pas très malin (2), vous n'êtes pas quelqu'un d'honorable. »
 « Taddéï se faisant "rouler dans la farine" par le petit écrivain grandement antisémite Nabe : Voir ICI »

Ca mon pote, ça s'appelle des emphases, des catégorisations et des procès d'intention, ce n'est ni serein ni très malin surtout quand on interdit de le faire aux autres sous peine d'être des sous-merdes antisémites.
Par ailleurs ne sont pas des propos de démocrates, donc là, nous divergeons radicalement dans notre vision de la société entre la démocratie à géométrie variable et la démocratie authentique. Une idéologie n'a pas à décider d'une morale publique ad hoc pour faire d'autres courants de pensée des atteintes à la morale public, pas dans une démocratie. Et les citoyens n'ont pas à être embrigadés dans cette manipulation qui leur font croire que l'antisionisme est en soi une irrévérence et une atteinte à la morale publique ; non, c'est une juste une pensée aussi légitime que les autres quand elle exclue l'incitation à la violence. Un président d'association a récemment inventé le néologisme d'israélophobie en direct à la télévision dans l'espoir qu'il soit utilisé comme on utilisa les croix pour éloigner les démons.

Vous êtes l'inverse des gens qui se focalisent sur la personne. Un de ces cons m'aurait dit de façon détournée : « moi je suis universitaire, toi tu as 19 ans donc tu te tais et tu ouvres tes oreilles ». Par ailleurs vous évitez le procès d'intention comme la peste, une qualité rare. Mais ce n'est pas une raison pour supprimer de votre méthode la référence à la personne. En effet Nietzsche ne disait-il pas que tout intellectuel s'écrit lui-même ? Dans un rôle purement descriptif, dans une honnêteté à la Hirsch, l'origine des gens non formés au détachement identitaire peut servir pour obtenir des indices et former des probabilités sur les hommes et les phénomènes humains tel que l'influence de la conviction idéologique ou du sentiment identitaire sur sa façon de vivre en société - dans l'exercice de son métier à pouvoir par exemple. Parfois, ces hommes de pouvoir (qui n'ont pas votre détachement vis-à-vis de ce qu'ils sont devenus, de leurs très nombreuses et variées pulsions et désirs, très important à noter !), ils annoncent eux-même leur sentiment identitaire, et celui-ci peut alors légitimement être employé comme indice. A force de cumuler les indices, des hypothèses politiquement incorrectes peuvent et doivent être discutées chez Taddéï et autres émissions d'information afin que les différents courants de pensée soient représentés dans une démocratie non pas à deux mais à une vitesse, et surtout afin que la précaution des citoyens, médiatisés ou non, permettent au projet républicain d'intérêt général d'être mis à bien. Vous qui souhaitez qu'un maximum d'entendement et d'esprits critiques puissent réagir quand vous préférez absolument l'usage de votre blog public au mail privé, eh bien vous attendez une alliance des précautions intellectuelles diverses et variées alors laissez la télévision le faire ! Elle le doit ! C'est la raison pour laquelle votre article sur Taddéï me choque ; vous osez le menacer avec des mot-injonction diabolisateurs, ces même mots qui sont des armes d'abus de pouvoir dans notre société moyen-âgeuse. Dans la forme, cet article, il est formidablement écrit et très amusant, dans le fond il présente une précaution globale intéressante à comprendre, mais à la fin vous déborder vers quelque chose de quelque chose d'antidémocratique.

Encore une fois, merci à E&R pour ces indices sains et continuons de réfuter avec une facilité tristement déconcertante la bienpensance des sauvages intolérants, pour en finir avec le moyen-âge subtil où des idéologies en dominent d'autres comme cela se fait avec les classes sociales. On se méfiera quand même des solutions de Soral parce que la misogynie, la nostalgie du catholicisme d'Etat et la judéophobie, ça va deux minutes.

Le problème de Dieudo, en fait, c'est Taguieff ? Va au diable mec... =)